Faut que ça déchire...
Je me réserve le mot "adorable" pour un type particulier de modèle et je n'hésite pas à utiliser ce mot pour la description de ce Tommy! Il est grand, de beaux yeux bleus de candide et un adorable visage de bébé, on ne pourra s'empêcher de l'adorer surtout grâce à son sourire charmeur et envoûtant...C'est un garçon bien intelligent car il a étudié à l'université la philosophie et les langues modernes. Mais ce qu'il préfère le plus, c'est une bonne surprise pour vous, c'est les chambres à coucher... Passez un bon moment en sa compagnie!
http://www.squirtz.com/model.html?id=659
Mauvais chiffres prévention chez les étudiants!
Près d’un étudiant masculin sur cinq aurait des rapports sexuels non protégés (19,5% très exactement). Ce constat étonnant émane d’une étude réalisée auprès de 12 070 étudiants français et publiée le 7 février par l’Union nationale des mutuelles étudiantes régionales (USEM). Les étudiantes, elles, seraient 10,3% à déclarer avoir déjà eu des relations non protégées.
A l’occasion de la Saint Valentin, les mutuelles étudiantes
régionales de l’USEM organisent la première édition de la semaine des relations affectives du 7 au 11 février. Cet événement est le bienvenue, car pou l’instant c’est une mention passable qui
peut être attribuée aux étudiants dans leur vie affective (pour le côté pratique, bien entendu).
Et ce n’est pas faute d’information, puisque 90% des
étudiants disent suffisamment connaître les différents moyens de contraception. Ces informations, les étudiants vont surtout la chercher sur Internet (pour 47,4% d’entre eux), auprès des
professionnels de santé (pour 35,2% d’entre eux), au sein de leur famille (25%) ou auprès d’amis (20%).
Mais dans le suivi, peu de concret. Ainsi, chez les étudiants, 73,1% des hommes et 63,3% des femmes n’ont jamais réalisé de dépistage. Et seulement 33,5% des étudiantes déclarent consulter
régulièrement un gynécologue. Dans les deux cas, hommes et femmes, les consultations médicales affichent une moyenne basse.
Même si 95% des étudiants se déclarent en bonne santé, cette négligence serait due à un manque de moyens financiers : Près de 40% des étudiants affirment avoir déjà du tirer un trait sur des soins médicaux faute d’argent.
pour tommy:
je suis totalement d'accord avec toi et j'ajoute qu'il est fait pour étre au lit avec moi !...un enfant à adopter !
merci