Faut que ça déchire...





Nous aimons douceur et langueur,
Qui doucement ravivent nos ardeurs.
Tantôt éveillés, tantôt endormis,
Nos corps se fondent et sont unis.


L'aube naissante et pâle
Accroît cette union stable,
De nos âmes insatiables
Dans le matin qui s'installe.


Soupirs et silence parsèment
Le jeu de nos gestes pèle-mêle,
Qui enivre les sens de nos êtres
Émus et troublés par autant de bien-être.



Jeu 2 avr 2009 Aucun commentaire