Faut que ça déchire...
Ce n'est pas une histoire de mon vécu...
Mais c'est tellement beau que je vous la partage!
Et il raconte cela bien...
Bon notre 1er coup était vraiment un "vide-couilles" c'est seulement depuis cette fois là qu'on baize vraiment ensemble. J'te laisse lire... bonnes bourres !
Première avec Jérôme.
Je me souviens très bien de ma première expérience homosexuelle, c'était avec Jérôme, un copain d'enfance… nous n'étions plus des gamins, nous avions bien grandis, il avait alors 19 ans et moi juste 18 !
Je m'étais déjà masturbé maintes fois, en douceur ou avec violence, j'aimais ressentir les frissons et le bien être d'une bonne branlette. Je savais doser longuement ma jouissance en masturbant délicatement mes parties génitales pour stimuler mon sexe et arriver, peu à peu, au point de ne plus pouvoir retenir mon sperme. J'adorais alors savourer de longues éjaculations libératoires en gémissant sous la contraction de mes testicules et en criant à chaque jet de semence, ne trouvant le repos qu'après avoir découillé tout le fruit de mes entrailles. Mais jamais encore un autre garçon ne m'avait masturbé ou touché le sexe. Il est vrai que j'y pensais souvent, j'essayais d'imaginer la main d'un mec qui enserrait ma verge, frottait mes burnes et masturbait mes parties génitales pour me faire bander de plus en plus raide. J'imaginais la douceur de ses doigts qui enserraient mon sexe turgescent et qui me touchaient la pointe de la verge pour étaler la mouille qui perlait de mon méat dilaté. J'imaginais le plaisir du garçon à qui j'offrais mon corps et ma sexualité, j'imaginais sa jouissance de pouvoir masturber ma queue jusqu'à ce que je découille. Je rêvais aussi de masturber ce même mec, de le faire jouir longuement, de le tenir en haleine en le touchant au plus intime de ses parties génitales jusqu'à lui faire cracher son sperme. J'essayais d'imaginer la manière dont il éjaculerait, je fabulais en voyant son corps s'arquer et se tendre pour découiller, je l'entendais gémir pendant son mâle orgasme et je voyais gicler sa semence jusqu'à ce qu'il m'ait donné tout le fruit de ses entrailles. Mais laisse-moi te raconter mes premiers vrais actes sexuels avec un autre garçon.
J'habitais encore chez mes parents, un soir il pleuvait lorsque j'ai entendu du bruit dans le jardin, c'était Jérôme un peu saoul qui venait chez moi pour dormir. Ce n'était pas la première fois qu'il débarquait ainsi car il avait un peu honte devant ses parents. Mouillé je l'ai aidé à se déshabiller et nu il s'est glissé dans mon lit pour s'endormir aussitôt. Je n'avais à ce moment là aucune arrière pensée, je me suis déshabillé également pour m'allonger à ses côtés où je me suis endormi rapidement. Ce n'est qu'au petit matin, avec les premières lueurs de l'aube, que je prends conscience de cet homme nu dans mon lit. Je me mets à bander en le regardant, il est vrai qu'Jérôme est beau garçon avec un grand corps mince et musclé. Je suis les mouvements de son torse puissant qui se soulève au rythme de sa douce respiration mais je n'arrive pas à arracher mon regard de son sexe. Je bande maintenant avec raideur et il me prend une folle envie de masturber mon ami. Son pénis mollement rabattu sur son bas ventre contraste avec ses burnes ballonnées semblant contenir deux balles de golf. Ne pouvant plus me retenir, je prends doucement sa verge en main et la fait rouler entre mes doigts. Jérôme ne bouge pas mais peu à peu son sexe se raffermi et il commence à bander aussi. Je pose délicatement ma tête sur son ventre pour mieux observer son érection et continuer à le toucher en bandant moi-même comme un fou. Jérôme commence à s'agiter dans son sommeil il gémit doucement et son sexe présente maintenant une belle érection. Soudain, avec un petit cri interrogateur il se réveille. Je cesse aussitôt de le masturber mais lui tiens fermement la hampe à pleine main en attendant sa révolte. A ma grande surprise il ne dit rien mais lentement il écarte davantage les cuisses, creuse son abdomen en poussant ses hanches contre moi et m'offre, sans doute possible, ses attributs génitaux. Je recommence à le masturber mais avec vigueur cette fois et le fais vibrer de jouissance en plaçant des frottis et des branlées à son sexe maintenant bien bandé. Stoïque il encaisse tout ce que je lui donne, il se contorsionne de jouissance en savourant mes masturbations mais à aucun moment il ne se dérobe, me faisant face de toute sa sexualité. Son sexe est dur comme un manche et coulisse dans ma poigne solide, je jouis autant que lui mais je continue à lui masser régulièrement la verge par de puissants va et vient. Du bout des doigts j'étale sur son gland turgescent la mouille qui suinte de son méat dilaté, lui arrachant à chaque toucher un feulement de jouissance. J'admire comme son corps vibre de sexualité, Jérôme tient ma tête contre son ventre et me masse la nuque et les épaules mais il me laisse le violer en savourant la montée de son orgasme. C'est par sa verge que je sens la poussée qui lui vient des testicules et je me redresse au moment ou il lâche deux belles giclées de sperme qui lui maculent le torse. Je continue mes masturbations et le force à découiller encore. Jérôme se cabre en gémissant profondément mais il ne se dérobe pas et se replie légèrement pour continuer à éjaculer les restes de sa semence. Son sperme bouillonne hors de sa verge et lui coule sur le ventre par saccades pendant que je continue à lui masser le sexe. Chaque spasme lui arrache un cri qui devient de plus en plus rauque au fur et à mesure que ses testicules se vident. Ayant éjaculé tout le fruit de ses entrailles Jérôme se détend enfin en poussant un long soupir de soulagement. Je prends un mouchoir pour éponger toute cette semence, Jérôme se redresse pour m'aider et découvre alors comme je bande. Luisante de mouille ma verge turgescente se dresse comme un pieu le long de mon ventre. Il m'enlace en me forçant à venir contre lui thorax contre thorax, je m'allonge sur lui en plantant mon pieu contre son ventre et étreint son corps en me frottant à lui. Un court instant Jérôme me regarde droit dans les yeux et me susurre à l'oreille : "laisse toi faire, je vais aussi te vider les couilles… tu en as besoin et je sais que tu en as envie". Docile je me laisse aller contre lui et attends ses initiatives. En roulant sur moi il me retourne sur le dos et se redresse; je le vois encore à genoux entre mes cuisses ouvertes et je frissonne lorsqu'il prend ma verge bien en mains. Je savoure la douceur de ses masturbations, du bout des doigts il titille mon gland congestionné et me farfouille la pointe de la verge en étalant la mouille qui suinte de mon méat dilaté. Tout mon sexe est pris dans le fourreau de ses mains. A mon tour, je me fais violer par mon ami, je le laisse faire et savoure la montée de mon orgasme. Le travail de ses mains sur mes attributs génitaux est absolument génial, Jérôme me place des fellations, me touche, me branle la queue et me replace des fellations à coups de poignets me faisant jouir avec une folle intensité. Je sens que bientôt je ne pourrai plus retenir mon sperme, je cherche à me dégager mais Jérôme divine mes intentions et me bloque aux corps à corps en accélérant ses masturbations. De jouissance, j'écarte encore davantage mes cuisses, me cabre en poussant un cri rauque et enlace amoureusement le corps de mon ami en lâchant ma semence. Mon sperme gicle entre nos deux corps et les contractions de mes testicules me font gémir de jouissance. D'un bras il me tient fermement contre lui et avec l'autre il me chapeaute la pointe de la verge pour me masturber le gland dans le creux de sa main. De nouvelles poussées de sperme giclent de ma queue, la contraction de mes testicules devient continue et j'inonde le corps de mon ami. Je m'agrippe à Jérôme qui me tient fermement pendant que je finis d'épancher mon liquide génital par petites giclées en gémissant mon plaisir. Il attend que mes crampes éjaculatoires se calment pour relâcher son étreinte et il commence à me caresser le ventre et le torse. Moi aussi je lui caresse le dos, le ventre puis le thorax; nos corps sont gluants de sperme, de mouille et de sueur mais nous restons ainsi longuement enlacés, baignant dans notre jus, jouissant jusqu'au bout nos mâles étreintes.
Ce n'est que bien plus tard que nous filons sous la douche.
La cata c'était tout ce sperme sur le drap, je l'ai changé et lavé moi-même ! Mais depuis ce jour ma mère doit se douter de mes relations avec Jérôme…
Heureusement, quelques mois plus tard, mon père me louait un studio, juste en face de mon école. J'y suis seul et la lessive… c'est au lavoir !