Aaron semble être un garçon timide, il a un visage d'ange, pour ses 18 ans, un garçon qui a de l'avenir dans les affaires... A titre personnel, je le vois bien responsable cadre dans une unité commerciale... Je suis sûr qu'il a plein de bonne ressources et aussi un caractère d'entrepreneur un peu têtu! Il faut simplement le connaître...
Il a un beau sourire narquois qu'il souhaite partager avec nous aujourd'hui!
Il est jeune, il faut y aller doucement, avec des pointes d'humour pour le faire rire et bien l'apprivoiser:
Quant au sexe, il préfère garder pour lui ses moments intimes. Il se branle un minimum car il dit qu'il a toujours trop de travail! (Il ne sait pas ce qu'il perd!) Mais il est tellement passionné par ses études qu'il ne voit pas le temps passer. De plus il a peu d'expérience avec les autres garçons, pourtant il a hâte de commencer... Qui veut lui tendre la main?
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Le premier sondage sur les représentations de l'homosexualité dans le milieu étudiant en Ile-de-France, établie par SOS homophobie et le Caélif dévoile par exemple que l'homosexualité n'est «pas une manière d'aimer comme les autres» pour un étudiant sur cinq...
Si l'on imagine les étudiants très gay-friendly, et particulièrement en Ile-de-France, l'enquête menée au printemps 2010 par SOS homophobie et le Caélif (Collectif des associations étudiantes LGBT d'Ile-de-France) n'est pas si optimiste.
19% «choqués» ou «dégoûtés»
Parmi les résultats les plus marquants, on apprend en effet qu'un étudiant sur cinq estime que «l'homosexualité n'est pas une
manière d'aimer comme les autres» et que pour 13% d'entre eux, l'homosexualité «est une orientation sexuelle déviante». De mêmes, ils et elles sont 19% à se dire «choqués» ou «dégoûtés» par un
couple de même sexe qui se tient la main ou s'embrasse en public.
De cette toute première étude sur la question, on peut conclure ceci: l'homosexualité et la lutte pour l'égalité se sont, apparemment, banalisées – d'ailleurs, les étudiants sont tout de même trois sur quatre à estimer «absolument nécessaire» ou «souhaitable» que la société ouvre le mariage et l'adoption aux couples de même sexe. Mais l'homophobie, dans ce sillage, semble aussi plus banale. Ainsi, la majorité des répondants estime que les insultes «pédé», «enculé», «gouine» ou «tapette» ne sont pas forcément, voire pas du tout, homophobes. Des résultats glaçants, surtout que l'enquête est réalisée un an après le lancement de la campagne contre l'homophobie dans les facs…
Quelles conclusions en tirer? Pour les associations, «il est indispensable que le ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche, ainsi que les établissements, se saisissent véritablement de la lutte contre l'homophobie».
Assez de blablas, des actes! Pour les aider, l'étude se conclut par quelques pistes: campagnes de sensibilisation, soutien des associations LGBT des campus, prise en compte de la lutte contre les discriminations dans les règlements intérieurs… La route sera longue, mais il ne faut pas désespérer: ainsi, pour 84% des répondants, apprendre que son meilleur ami est gay ou lesbienne «ne changerait rien à (leurs) relations»…
Enquête réalisée du 7 avril au 5 mai 2010 sur 4638 personnes ayant répondu à un questionnaire en ligne.
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pour Aaron,...s'il veut que je lui donne des cours de pratique alors je suis d'accord !