Pour continuer voici un vrai matcho!
Il déchire les vêtements du petits minets et lui fait bouffer sa queue!
http://www.xvideos.com/video859638/powerpack
Encore de la discrimination et de l'homophobie au travail.
En 2011, il est encore difficile de s'afficher homosexuel au travail.
Les comportements homophobes persistent au travail où les personnels gays ou lesbiens hésitent à faire leur coming-out par
crainte de représailles ou de conséquences sur leur carrière, même si la question de la diversité progresse dans les entreprises.
http://www.dailymotion.com/video/xc3imh_homophobie-au-travail-france-5-02-0_news#from=embed
Selon un sondage de l'association contre l'homophobie
au travail l'Autre cercle, dévoilé jeudi, près d'un homosexuel sur cinq (19%) considère que le climat dans son entreprise lui est "hostile", et 26% disent avoir été victimes ou témoins de
comportements homophobes au travail.
Quatre ans après un sondage similaire, "le monde du travail a encore
des progrès à faire", a souligné le président de l'Autre cercle, Philippe Orillac, déplorant, lors d'une conférence de presse, des chiffres "en stagnation" depuis 2006.
"20% de climat hostile, c'est beaucoup trop", ajoute Catherine Tripon, porte-parole de l'association. "Pour pouvoir constater ce
climat hostile, c'est vraiment qu'il s'agit d'un climat général autorisé (...), et que personne ne réagit, ni la DRH, ni la direction générale", insiste-t-elle.
Dans 92% des cas, ces comportements homophobes (moqueries, manque de respect, délation, mise à l'écart, harcèlement, etc.) n'ont
eu aucune conséquence pour leurs auteurs. Pire, dans 7% des cas, l'entreprise a donné tort à la victime (en l'incitant à quitter son poste, par exemple).
Conséquence: à peine la moitié des personnes LGBT (53%) ose aujourd'hui prendre le risque de se dévoiler au travail.
"Dans mon métier, on est obligé de cacher nos vies, de s'inventer des compagnons ou compagnes", confirme Anne (son prénom a été
changé), 48 ans, qui travaille depuis 25 ans dans le transport logistique et se dit "sûre" que révéler son orientation sexuelle aurait des conséquences sur sa carrière. "C'est inenvisageable",
affirme-t-elle.
Pour donner le change, elle s'est "affichée avec des copains homo, on s'échangeait nos soirées professionnelles". Ce qu'elle ne
fait plus aujourd'hui, préférant ne jamais aller "au dîner de fin d'année ou dans des soirées professionnelles avec quelqu'un".
"De plus en plus, la vie professionnelle appelle à dévoiler la vie privée", remarque Lionel Ferraris, de l'Autre cercle, citant
"la socialisation, les prestations du CE, les complémentaires santé, etc.".
La visibilité semble cependant plus facile dans le secteur public, à l'exception notable de l'Education nationale, où
les homosexuelssouffrent d'une "triple pression", de la hiérarchie, des parents d'élèves, et des élèves eux-mêmes, explique-t-il.
Dans les grandes entreprises, l'enquête révèle que les LGBT sont d'autant moins visibles qu'ils sont diplômés. "Encore
aujourd'hui, le fait de se rendre visibles peut avoir une incidence sur la suite de sa carrière", déplore Catherine Tripon.
Pourtant, ce sont souvent les grandes entreprises qui ont développé la problématique "diversité". "Alors qu'il y a une Charte
'diversité', des labels 'diversité', des M. et Mme 'diversité', l'orientation sexuelle n'est que rarement évoquée. C'est un critère qui n'est pas visible", déplore-t-elle.
Anne confirme. "Ici, la politique, c'est +intégrer les handicapés+, ça s'arrête à ça. Les autres sujets ne sont pas
abordés".
Pourtant, certaines entreprises commencent à afficher leur attitude "gay friendly". Ainsi, chez IBM France, l'orientation
sexuelle est intégrée au plan diversité, le mois de juin a été déclaré "mois des fiertés LGBT", et 35 top managers ont officiellement fait leur "coming out", a expliqué Jean-Louis Carvès,
directeur diversité du groupe.
Chez Randstad notamment, on vérifie par exemple que chaque avantage accordé à un couple pacsé le soit aussi aux couples homos,
explique Abdel Aïssou, vice-président. Et des formations sur l'humour et les représentations ont été menées pour mettre un terme aux blagues sexistes et homophobes.