Peu après notre première soirée particulièrement hot, j'ai partagé de plus en plus de choses avec Bertrand, qui à ce moment vivait assez mal sa séparation. Nous nous voyions quasiment tous les jours quand je n'étais pas en déplacement, et j'en profitais alors pour m'inscrire dans la même salle de sport que celle qu'il fréquentait. Il était toujours, de son propre aveu, assez excité une fois la séance finie, les odeurs de mâles présents dans la salle éveillant en lui les désirs les plus intenses. Souvent, comme nous fréquentions cet endroit jusqu'à la fermeture, nous nous retrouvions seuls dans le vestiaire, partageant des douches torrides avec l'appréhension d'être surpris à tout moment. J'aime quand nous baisons de cette manière, j'aime sentir son corps mouillé se presser contre le mien, sa queue bandée contre ma peau.

 

Un soir que nous étions sous cette douche, je pris les devants en le suçant énergiquement. Dos au mur, la main sur ma tête, il me faisait sentir l'intensité de son excitation. Rapidement, il jouit sur mon torse, quand j'entends derrière moi une voix grave nous sermonner :"Les mecs, faites gaffe, je pourrais avoir des problèmes avec vos conneries". C'était le gérant de la salle, Manu, qui venait de nous surprendre ainsi. Alors que je me relevais pour tenter de m'excuser, Bertrand fendit son visage d'un large sourire en répondant "Ça te va bien de dire ça, dis-nous juste que tu aurais aimé qu'on t'invite".  Bertrand et Manu se connaissait déjà bien, et ils avaient d'ailleurs partagé un trio avec la femme de mon homme...  Manu est un homme métisse, bodybuildé et plutôt charmeur. Son visage de boxeur pourrait être intimidant s'il ne souriait pas presque à chaque phrase. Il dégageait une virilité incroyable, et sa voix grave et calme le rendait parfois presque intimidant. Il se dirigea vers moi, caressant furtivement mon torse couvert de la jouissance de mon mec, et fit remarquer que mon homme choisissait bien ses conquêtes. Je pris un peu d'assurance en lui enlevant son tee-shirt, puis en l'embrassant.  Manu se retourna vers Bertrand, s'approcha de lui tout en me tenant la main. Il dit à Bertrand "tu veux baiser chez moi, tu sais comment ça se termine". Bertrand l'embrassa, puis ouvrit son pantalon pour en sortir une queue plutôt épaisse bien que moins imposante que la sienne. Je bandais comme un fou, et Manu me fit signe de m'allonger sur le dos. Bertrand fit de même, tandis que Manu posa sa queue dans la bouche de mon homme tout en m'engloutissant.  Bien qu'il ne suçait pas extrêment bien, le fait d'entrevoir mon mec subir à ce point m'excitait énormément. Très rapidement, je me rendais compte qu'un jeu de domination s'exerçait entre Manu et Bertrand, le premier prenant plaisir à être le "mâle" quand l'autre se réjouissait de subir l'impact physique de son athlétique partenaire. Au moment de nous relever, Bertrand, se cambra pour accueillir la queue de Manu, puis se pencha dans un râle pour prendre ma queue dans sa bouche. Très vite, alors que Manu le limait sans ménagement, je ne pus me retenir de jouir, et mon sperme habilla le visage de mon homme. Il se releva puis fut plaqué au mur, subissant de plus belle les coups de reins de son métisse. Je me présentais dès lors derrière Manu, lui disant que je voulais le prendre pendant qu'il faisait rugir Bertrand. Il stoppa dès lors quelques instants le temps que je le pénètre, puis nous avons baiser ainsi jusqu'à en jouir, lui d'abord sur les reins de mon mec, puis moi sur ses fesses. Bertrand, épuisé, se mit à genoux pour sucer les reste de mon sperme sur ma queue rougie. Manu se retira de la pièce après m'avoir embrassé. De retour chez Bertrand, il m'avoua qu'il aimait parfois se sentir "salope" selon ses propres termes, c'est-à-dire soumis à la puissance d'un homme. Incapables de baiser le soir même, nous avons passé une soirée calme, bien que l'évocation des ébats récents provoquent en nous un désir intense.

 

Quelques semaines plus tard, nous avons décidés d'organiser une soirée entre Bertrand, ma femme Cyrielle (que j'ai fini par mettre au courant) et moi. Tentée par cette nouvelle expérience, elle accepta avec entrain de partager le lit de deux hommes. Pour l'avoir aperçue à plusieurs reprises, elle était séduite par Bertrand. Lui en revanche semblait un peu moins à l'aise. Très rapidement, après un dîner au restaurant, nous sommes rentrés chez nous et Bertrand a ouvert les débats, se montrant très dominateur avec Cyrielle. Presque goujat, il me dit dans un sourire "je commence par elle, elle a l'air pressée". Ma femme, jolie blonde mince et élancée, est une séductrice profitant des ses formes assez généreuses pour arriver à ses fins. Bertrand dégraffa son pantalon et commanda ma femme de se mettre à genou, lui tendant sa queue. Elle s'exécuta tandis que je m'installait dans un fauteuil, libérant moi aussi mon sexe qui grossissait dans ma main. J'étais excité en voyant Bertrand, son corps parfait désormais dénudé, ses tatouages magnifiquement dessinés, tandis que sa main rythmait le rythme de ma femme qui ne pouvait s'empêcher de gémir tandis qu'elle avait son sexe en bouche. Brusquement, il se retira, lui ôta sa robe et ses dessous, puis la porta sur le lit. Il était à genou, passant les jambes de Cyrielle autour de son coup pour lui dévorer la chatte. Bertrand a un piercing sur la langue, selon lui pour "faire jouir un mec en moins d'une minute". Il semble que l'efficacité de cet appendice ne s'arrête pas aux mecs. Il s'arrêta au moment où elle fut au bord de la jouissance pour la prendre en levrette énergiquement. Ce n'était plus des gémissements mais des hurlements que Cyrielle poussait. ll la poussa ensuite sur le lit pour la placer sur le dos, puis la lima avec une énergie peut commune tandis qu'elle jouissait déjà. Il se retira, vint vers moi et me demanda de le sucer. Il se plaça face à elle, lui répétait de regarder son mec le faire jouir. Il jouit très rapidement, et je décidais de ne rien laisser sortir de ma bouche, avant d'aller embrasser ma femme qui put goûter au sperme de notre hôte. Suite à cela, il demanda à Cyrielle de me sucer, tandis qu'il se branlait à côté de moi. Il n'hésitait pas à la traiter de chienne, de salope, ce qui était nouveau. Visiblement, elle aimait ce rapport face à lui, elle s'exécutait  et se déchaînait comme jamais dans nos relations. Il lui indiqua de venir sur moi, se faire baiser par son mari, ce qu'elle fit. Pendant cette phase un peu plus calme, Bertrand m'embrassait, caressait les seins de Cyrielle et se branlait tour à tour. Il m'ordonna "fais-la jouir" à plusieurs reprises. Cyrielle a joui, tout comme moi, et se pencha pour m'embrasser. A ce moment, Bertrand inséra un doigt dans son petit trou, ce qui la surprit. Elle se retourna vers lui, lui disant qu'elle n'était pas prête pour l'instant. Alors, il plongea sa tête dans mon dos pour me lécher l'anus, il sait l'effet que ça provoque en moi. Rapidement, il se présenta au bas de mes reins et enfonça sa queue imposante dans mon cul offert. Allongés sur le côté, nous baisions avec fougue tandis que Cyrielle paraissait un peu décontenancée par cet acte aussi viril qu'intense.  Bertrand et moi s'aggripprions l'un à l'autre laissant rougir nos corps, et je prenais plaisir à le sentir plus fort que moi à ce moment. Comme il l'avait fait avec Cyrielle, il se leva et se résenta au bord du lit pour me prendre en levrette. Mais comme je restait à genou, il m'aggrippa le torse pour me limer brutalement, se faisant jouir dans un cri presque animal. Il me suça tout de suite après pour que je jouisse sur son visage. Dès lors, nous nous allongions tous les trois pour nous remettre de nos ébats, Bertrand semblant se réjouir de nettoyer doucement son visage à l'aide de ma femme. Sans m'en rendre compte, je me suis assoupi. En me réveillant, je constatais que j'étais seul dans mon lit, et je ne fus guidé que par des gémissements très marqués. Discrètement, je gagnais la cuisine où je voyais ma femme debout contre le plan de travail tandis que Bertrand lui assènait de vifs coups de reins. J'ai été jaloux, car je savais ce que Cyrielle ressentait, la présence de cette queue dans son petit trou, dont on ne sait quand elle va ralentir le rythme. Tandis qu'elle le motivait en lui adressait des "défonce-moi", il la tenait tantôt par les cheveux, par les hanches, puis la redressa pour serrer ses seins de ses mains puissantes. Cette scène ne dura pas longtemps, moins de 2 minutes, mais elle était d'une intensité bestiale. Il l'emmena sur le canapé pour la faire jouir, je voyais son front en sueur dans la lumière de la rue. Quelques dizaines de secondes auront été nécessaires pour qu'ils jouissent, plongeant la pièce dans un silence presque glaçant. Je vis alors Bertrand se relever, et venir vers la chambre, je regagnais donc le lit. Au moment où il entrais, je lui lançais "alors, c'était bien?" ce à quoi il me répondait "peu importe, je pense qu'elle va dormir, nous sommes seuls". A ce moment, j'étais heureux de percevoir qu'il semblait préférer baiser avec moi. Il s'allongea à côté de moi en me disant "les femmes, c'est moins mon truc, y a pas à faire".  Puis il me glissa, les yeux dans les yeux "défonce-moi, comme un vrai mec, je suis en manque". Nous nous sommes relevés, il me suça rapidement puis se mit à quatre pattes sur le fauteuil. J'avais envie de le baiser comme jamais je ne l'avais fait, qu'il sente mon envie, qu'il sente à quel point son cul m'excite. Agrippé à ses hanches, je le limais intensément, mes coups de reins soutenus le faisait crier qu'il en voulait encore. Pour la première fois, je crois que j'avais pris le dessus sur son physique d'athlète. Il me criait qu'il en voulait encore, qu'il voulait que je le défonce. Je me retirais à peine qu'il se retourna, me suppliant de jouir dans sa bouche. Je pris sa tête dans ma main et je le limais de la sorte durant quelques secondes avant de jouir. Peu après, il se branla pour arroser mon torse qu'il lécha avant de m'embrasser. Nous nous sommes endormis ainsi.

 

Suite à cette nuit, je me rendis compte de l'importance de Bertrand dans ma vie. Lui aussi. J'ai fini par me séparer de ma femme pour vivre avec mon homme. Nous sommes aujourd'hui sous le même toit, partageant des moments intenses, baisant si souvent qu'il devient parfois difficile de se séparer quelques jours. J'ai appris quelque chose sur ses tatouages. Il en a deux, le premier sur son bras au moment de son mariage, le second à la cuisse pour la naissance de ses enfants (des jumeaux). Il a depuis peu un troisième, un imposant tribal sur le flanc... Il l'a fait pour notre "emménagement". Ce soir je rentre chez nous après un déplacement de trois jours. J'ai reçu un message il y a 20 minutes, en disant simplement "je t'attend, je n'en peux plus". Ce message est accompagné de la photo de sa queue raide de désir... Je rentre.