C'est comme ça que tu as caché tes oeufs de Pâques dans le jardin?
Quelques est venu les chercher?
Ou les déguster?
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« Je voudrais vous raconter le plus beau et le plus douloureux de mes souvenirs. C'est à l'âge de 18 ans que je suis tombé le plus profondément amoureux. La personne qui faisait l'objet de ma passion était un garçon de 20 ans. Il ne se doutait pas, ou feignait de l'ignorer, la nature de mes sentiments.
Il se prétendait comme un frère pour moi et je crois que c'est ce qui m'a fait perdre la tête à son propos. Dans la bande où j'étais intégré, cachant mon orientation sexuelle, toutes les filles voulaient sortir avec lui et il pouvait choisir n'importe laquelle. Un geste et elles répondaient présentes, même en public.
Les garçons le respectaient pour ses qualités de « chef » et reconnaissaient en lui le numéro un. Il ne faisait qu'1,75m, il avait les cheveux blonds, des yeux sombres et il avait toujours le sourire. Jamais je ne souffrais autant que lorsqu'il parlait des filles avec qui il allait faire l'amour, et qu'il racontait comment il allait s'y prendre. J'ai souvent eu envie de lui dire de lâcher telle ou telle fille et de me soumettre, moi, à son plaisir. Je me sentais merveilleusement bien quand il était près de moi, et encore plus quand il me serrait la main ou me tapait dans le dos ; le seul contact de sa main m'envoyait des frissons d'excitation dans tout le corps.
Un jour, à la patinoire, nous avions peut-être un peu picolé. Je parlais avec d'autres garçons quand il m'a appelé pour que je le rejoigne ; et puis, comme tant d'autres fois, il m'a montré du doigt une voiture, m'a dit qu'il allait coucher avec la fille assise dedans, y est monté ... Plus tard, cette nuit-là, au moment où j'allais rentrer chez moi, il m'a appelé de nouveau. Cette fois, je n'avais aucune idée de ce qu'il me voulait. Nous nous sommes mis à parler en marchant. Il était tard.
Je me demandais toujours ce qu'il voulait quand, sans prévenir, il a baissé la fermeture de son pantalon, a sorti le plus « grand » et le plus « beau » pénis que j'aie jamais vu et s'est mis à uriner, sans chercher à se cacher de moi, au contraire. Après quoi, il est entré en érection et m'a dit : « Je sais que tu en meurs d'envie depuis longtemps. Alors vas-y, il est à toi … »
Sans prendre le temps de réfléchir, je me suis agenouillé et lui ai fait une fellation. Mon cœur battait comme s'il voulait s'échapper de ma poitrine. Lui grognait de plaisir et me disait : « Oui, comme ça, c'est bon, tu fais ça au poil ! »
Il m'a éjaculé longuement dans la bouche, pressant sur ma nuque pour que son membre entre le plus loin possible. J'étais à ce point fou d'excitation que j'ai eu un orgasme formidable, et je me suis répandu dans mon slip sans même avoir besoin de me caresser ni d'être touché par lui ! Il m'a relevé très gentiment et m'a dit : « C'était chouette, môme. Lorsque tu en auras envie, ne te gêne pas. J'aurais toujours une ration pour toi, entre deux meufs. Mais fais gaffe que les autres ne le sachent pas … »
Je suis rentré chez moi. Une fois dans mon lit, je me suis masturbé deux fois en repensant à ce qui s'était passé. Et puis, brusquement, je mes suis mis en fondre en larmes. Oui, j'avais envie de recommencer, de me faire prendre par lui et j'accepterais tout ce qui lui passerait par la tête …
Le lendemain, j'étais dégrisé. Je le voulais pour moi tout seul. Il ne me plaisait pas qu'il veuille me faire plaisir entre deux meufs. Au panier les gonzesses ! Je préférais souffrir plutôt que subir sa pitié. Je lui ai envoyé une lettre (ou plutôt un long mot) d'amour et de rupture. A quelques temps de là, nous nous sommes rencontrés, par hasard, il m'a simplement dit : « Dommage, mec, parce que tu pompes au poil ! »
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